La gestion de l'hypoglycémie

L’hypoglycémie est une baisse du taux de sucre dans le sang en-dessous de 65 mg/dl avec ou sans symptômes.

> Si l'hypoglycémie n'est pas reconnue ou traitée, les symptômes peuvent s'aggraver :

 

  • Altération de la vue
  • Difficulté de concentration
  • Maux de tête
  • Trouble de la parole
  • Confusion
  • Convulsions
  • Perte de connaissance 

Le traitement de l’hypoglycémie > personne consciente

1.  Stopper toute activité

2.  Mesurer la glycémie capillaire

Mesure de la glycémie capillaire - tableau des valeurs

3.  Ne restez pas seul

Valeurs indicatives à adapter à chacun :

  • Attendre 15 min au repos
  • Reprendre la glycémie capillaire
  • Recommencer la procédure si nécessaire
  • Identifier la cause de l’hypoglycémie (surdosage insuline, activité physique,…)

 

​Le traitement de l’hypoglycémie > personne avec perte de consciente (ou en cas de doute)

 

Hypoglycémie avec perte de conscience - schéma

Les glucides

  • 5g de glucides rapides c’est :

      50 ml de jus / 1 bonbon / 1 carré de Dextro Energy® ou 4 mini 

  • 10g de glucides lents c’est :

      1/2 banane / 2 petits beurre / 200 ml de lait

 

 

L'administration du Glucagon

 

> Toujours prévenir un membre de l’équipe du DECCP au 621 25 25 28 après une hypoglycémie avec perte de conscience.

 

 

Services associés
ZOOM - Dr Charlotte PIERRON - Médecin néonatologue

ZOOM - Dr Charlotte PIERRON - Médecin néonatologue

MISSION

Le néonatalogue est un pédiatre spécialisé qui s’intéresse au nouveau-né, de la grossesse jusqu’aux premiers mois après la naissance. Il prend en charge la santé et le développement du nouveau-né fragile et du nourrisson.

EN QUOI CONSISTE LE MÉTIER ?

Le médecin néonatologue assure la prise en charge médicale du nouveau-né à besoins spécifiques, depuis la salle d’accouchement jusqu’à son départ à la maison.

Il travaille en milieu hospitalier en équipe pluridisciplinaire au sein d’une unité spécialisée, unité dans laquelle la surveillance et les soins prodigués aux nouveau-nés sont continus.

Les unités de soins néonataux prennent en charge les nouveau-nés prématurés et les enfants nés à terme présentant des malformations (notamment des malformations pulmonaires, intestinales ou rénales), des troubles de l’adaptation à la vie extra-utérine, une détresse respiratoire, ou encore une infection.

QUALITÉS

Les principales qualités du néonatologue sont la rigueur et la prise en charge de l’urgence, mais il doit également être un expert dans la communication avec les parents ou proches de l’enfant, ainsi que l’équipe soignante.

"En tant que néonatologue je suis amenée à réaliser de nombreux actes techniques sur les nouveau-nés, tels que la pose de cathéters épicutanéocaves ou la gestion de support respiratoire invasif ou par masques. Par ailleurs nos patients sont équipés de multiples capteurs afin de pouvoir surveiller leurs fréquences cardiaque et respiratoire, leur saturation en oxygène … et ils ont tous une sonde gastrique afin de les alimenter.

Malgré cet univers très technique, où l’enfant pourrait disparaître derrière tous ces dispositifs, il est important pour le médecin néonatologue , en collaboration avec l’équipe infirmière, de soutenir les parents et de ramener leur enfant et son confort au centre de leurs pré-occupations. Ceci n’est possible que grâce à la communication et la pédagogie dont nous faisons preuve, avec un maximum d’humanité, malgré les annonces parfois difficiles que nous devons faire. Une part de notre métier est aussi d’accompagner les enfants en fin de vie et leurs parents.

En tant que médecin néonatologue, je suis spécialiste dans la prise en charge de l’urgence vitale du nouveau-né. A ce titre, j’accorde une importance extrême à l’actualisation constante des compétences dans ce domaine, les miennes comme celles de l’équipe médico-soignante dont nos internes. »

 

Dr Charlotte PIERRON - Médecin spécialiste en néonatologie

Services associés
M. Paul Mousel visite les différents services d’hospitalisation dédiés à la prise en charge des patients COVID+

M. Paul Mousel visite les différents services d’hospitalisation dédiés à la prise en charge des patients COVID+

Aujourd’hui, le président de la Commission administrative du CHL, M. Paul Mousel, a visité les différents services d’hospitalisation dédiés à la prise en charge des patients COVID+. La visite a été guidée par le Dr Romain Nati, Directeur général du CHL, le Dr Martine Goergen, directeur médical du CHL et Mme Monique Birkel, Directrice des soins du CHL.

M . Mousel a profité de sa venue à l’hôpital pour échanger avec les équipes médico-soignantes du terrain et se faire une image des conditions de travail actuelles en zone COVID+ .

Au cours de la visite, M. Mousel a témoigné son soutien à l'ensemble des équipes du CHL et les a remercié une nouvelle fois pour l'énorme investissement et engagement dont ils font preuve depuis le début de cette crise sanitaire.

La Stroke Unit de niveau II du CHL

La Stroke Unit de niveau II du CHL

A l'occasion de la Journée Mondiale de l'AVC, le CHL vous présente sa Stroke Unit de niveau II. 

 

La stroke unit de niveau II du CHL est une unité d’hospitalisation du service de neurologie, spécialisée dans la prise en charge 24h/24h de patients souffrant d’accident vasculaire cérébral (AVC) avec un déficit neurologique persistant et d’Accidents Ischémiques Transitoires (AIT) avec un déficit rapidement régressif et correspond à des standards internationaux.

> La Stroke Unit du CHL fonctionne 24h/24 et 7j/7. Avec ses 6 lits spécialement aménagés et monitorisés, l’unité a pris en charge 319 patients atteints d’un AVC/d’une AIT en 2019.

 

Un accident vasculaire cérébral (AVC), aussi appelé attaque cérébrale ou « stroke » en anglais, survient lorsqu’un vaisseau sanguin du cerveau est obstrué, le plus souvent par un caillot de sang, ou lorsqu’un vaisseau sanguin du cerveau se rompt. On parle alors d’accident ischémique cérébral ou d’infarctus cérébral. Cette partie cérébrale en manque de sang ne peut plus fonctionner normalement, et apparaissent, souvent brutalement, les symptômes typiques d’un AVC. Moins souvent (environ 10 % - 15 % des cas), l'AVC est la conséquence de la rupture d’une artère, et le sang qui en est issu détruit le cerveau à son niveau.

Les origines des AVC sont multiples (artère du cou obstruée, embolie provenant du coeur, petite artère cérébrale occluse…), et la recherche en urgence de la cause chez chaque patient est essentielle pour prévenir la récidive et éviter des complications.

> Au niveau international, il est reconnu que la prise en charge des patients au sein d’une Stroke Unit démontre une réduction de 17 % du risque de décès et de 25 % du critère combiné "décès et dépendance".

 

Une équipe de spécialistes pour une prise en charge 24h/24h

Après avoir reçu les premiers soins au service des Urgences, les patients ayant subi un AVC sont hospitalisés au sein de la Stroke Unit du CHL.

Ce service assure un accompagnement optimal aux patients pendant les premiers jours/semaines qui suivent un AVC. Les patients y restent sous l’observation continue (monitoring) d’une équipe pluridisciplinaire spécialisée, qui surveille particulièrement les aspects suivants :

  • Rythme cardiaque
  • Tension artérielle
  • Température
  • Taux d’oxygène dans le sang
  • Conscience
  • Déficit neurologique, tel que signes de paralysie, troubles sensitifs et troubles visuels
  • Problèmes de déglutition
  • Troubles du langage
  • Fonction vésicale

> Prévenir des complications est l’objectif principal pendant la phase aiguë et post-aiguë.

 

L’équipe pluridisciplinaire spécialisée qui intervient dans la prise en charge de l’AVC/AIT est composée notamment:

  • de médecins formés à la pathologie neuro-vasculaire en nombre suffisant pour assurer une présence effective sur place 24 heures sur 24 toute l’année
  • d’infirmiers et d’infirmiers spécialisés (ex : formés à la réalisation d’échographie doppler ou ayant obtenu un DIU en pathologie vasculaire)
  • de kinésithérapeutes qui se concentrent sur la rééducation du patient : positionnement, thérapie respiratoire, apprentissage des déplacements, rééducation à la marche
  • d’orthophonistes en charge de la rééducation de la communication
  • d’ergothérapeutes qui effectuent des bilans (de motricité, de sensibilité et d’autonomie dans le quotidien du patient). Ils fournissent et adaptent le matériel auxiliaire (fauteuil roulant, attelle, etc.). Ils estiment si des aménagements du lieu de vie du patient sont nécessaires
  • d’assistantes sociales qui aident le patient p.ex. à choisir un centre de rééducation ou mettre en place la suite de son traitement (aide-ménagère, soins à domicile, etc.)
  • de psychologues assurant le suivi psychologique des patients et des familles
  • de diététiciennes qui interviennent pour effectuer une évaluation nutritionnelle complète et adapter les repas.

L’équipe de la Stroke Unit travaille également en étroite collaboration avec les autres services du CHL, à savoir le service de neuroradiologie, de neurochirurgie, de cardiologie, de chirurgie vasculaire, de réanimation, de diabétologie et de rééducation.

 

> Cette organisation a notamment permis la mise en place d’une filière de soins 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour la thrombectomie.

> A savoir : La thrombectomie mécanique est une procédure qui fait intervenir des praticiens de différentes spécialités avec une possibilité réelle d’améliorer les résultats pour les patients.

Dans un contexte de bonne collaboration, les autres hôpitaux du pays transfèrent régulièrement des patients au CHL lorsqu’un traitement par thrombectomie est nécessaire.

 

Le parcours de prise en charge d’un patient atteint d’un AVC

Dès l’arrivée aux urgences du CHL pour une suspicion d’AVC, le patient est examiné par le médecin neurologue. Plusieurs examens seront immédiatement réalisés afin de déterminer la cause de l’attaque cérébrale et de localiser la région atteinte. Pour permettre de poser un diagnostic précis, une imagerie cérébrale est effectuée (IRM ou scanner). D’autres examens complémentaires peuvent s’avérer nécessaires (écho-doppler, échographie cardiaque…).

> L’imagerie est une étape importante de la filière neurovasculaire (image IRM)

 

Des soins adaptés seront ensuite initiés en fonction de l’origine de l’accident vasculaire cérébral et de ses causes. Pour ces patients, plus vite sont instaurées des mesures thérapeutiques, meilleurs sont les pronostics de survie et les chances de récupération.

> Time is brain

 

Deux principales approches sont possibles afin de rétablir le flux sanguin cérébral : sous certaines conditions, le vaisseau bouché pourra être rouvert par un traitement appelé la thrombolyse (traitement médicamenteux pour dissoudre le caillot - ce traitement est possible uniquement dans les quatre heures et demi après le début des symptômes et selon l’état du patient) ou la thrombectomie (acte de neuroradiologie interventionnelle permettant d’extraire le caillot de sang grâce à un cathéter ; ce traitement doit se faire, en général, dans les 6 heures qui suivent l’AVC).

> Au CHL en 2017, 5 patients ont eu une thrombectomie, en 2018, 12 patients. De janvier à décembre 2019, 25 patients ont eu une thrombectomie.

 

Selon les cas, des médicaments comme des anti-agrégants plaquettaires qui empêchent la formation de caillots (aspirine par exemple) ou des anticoagulants sont aussi administrés.

L’équipe de la Stroke Unit a pour objectif d’éviter les complications et de stabiliser les patients, de tout mettre en oeuvre pour que la récupération se fasse au plus vite, puis de réorienter les personnes en fonction des séquelles éventuelles.

> Il s’agit d’un travail de guérison, de stabilisation, et d’orientation.

 

La rééducation du patient commence le plus rapidement possible, dès que son état de santé le permet. Elle dépend de l’importance de ses atteintes (hémiplégie, hémiparésie, troubles de mémoire, difficultés à déglutir, etc.) et augmente en intensité au fur et à mesure que l’état du patient s’améliore.

Elle débute au sein de la Stroke Unit et peut se poursuivre, si besoin, dans un centre de rééducation. Elle vise le rétablissement et/ou le maintien de l’autonomie du patient.

Pour minimiser le risque de nouvel accident vasculaire cérébral, le patient est également sensibilisé aux divers facteurs de risque "modifiables", comme le tabagisme, la surcharge pondérale ou encore la sédentarité. Le cas échéant, un traitement médicamenteux sera instauré lequel devra être poursuivi après la phase d’hospitalisation : hypertension artérielle, hypercholestéroléme, diabète, etc.

Lorsque l’état du patient s’est stabilisé et que tous les examens ont été réalisés, le patient peut quitter l’hôpital. Les possibilités de sortie sont discutées au sein de l’équipe pluridisciplinaire ensemble avec le patient et/ou la famille/les proches. L’âge du patient, sa situation personnelle et ses capacités physiques y sont pris en compte.

Si la situation le permet, le patient peut donc retourner à son domicile (avec éventuellement des soins de rééducation et/ou des soins infirmiers en ambulatoire). Si le retour au domicile n’est pas possible, le patient peut être pris en charge dans un centre de rééducation ou une maison de repos et de soins.

Le CHL suspend les visites aux patients

Le CHL suspend les visites aux patients

Une décision difficile prise en raison du risque croissant de contamination liée à la propagation foudroyante du coronavirus.

Devant la propagation foudroyante du coronavirus dans la population, le CHL se voit contraint de suspendre les visites auprès des patients à partir de ce jeudi 29 octobre, avec des exceptions pour la Maternité, la Kannerklinik et certains patients en situation critique. En Maternité, seule la présence du conjoint sera autorisée, en Kannerklinik, la présence d'un seul parent ou représentant légal de l’enfant à la fois sera permise.

La mesure est valable jusqu'à nouvel ordre.

18 octobre: Journée Mondiale de la Ménopause

18 octobre: Journée Mondiale de la Ménopause

A l’occasion de la Journée Mondiale de la Ménopause ce dimanche 18 octobre, l’équipe pluridisciplinaire de la Clinique de la Ménopause du CHL vous propose de découvrir les apports de chacun au sein de l’équipe travaillant à un objectif commun : vous aider à mieux vivre ce processus.

Pour rappel, la Clinique de la Ménopause du CHL, créée en 2017, propose une prise en charge globale, pluridisciplinaire et personnalisée des patientes qui présentent des symptômes suite aux changements hormonaux de la ménopause. En 2019, 219 patientes ont été suivies au sein de cette clinique thématique.


« La ménopause n’est pas une maladie, néanmoins, pour chaque femme, elle a un impact plus ou moins prononcé sur le bien-être physique, psychologique ainsi que sur la santé à long terme. Dans ce contexte, un passage auprès de l’infirmière en Clinique de la Ménopause peut aider à comprendre les symptômes ressentis (bouffées de chaleur, changement d’humeur, douleurs articulaires, troubles du sommeil, etc.), dus aux changements hormonaux et permet de réaliser un dépistage des différents risques pour la santé.

Les objectifs de cette consultation soignante sont: 

  • d’aider les femmes à comprendre l‘origine des symptômes ressentis,
  • d’ identifier les facteurs de risque principalement liés à une mauvaise alimentation et à la sédentarité,
  • d’aider la femme à prendre conscience de l’influence de l’alimentation et de l’exercice physique sur la santé, ainsi que de l’effet positif des interventions préventives,
  • d’élaborer un plan d’action avec objectifs réalistes pour améliorer l’alimentation et développer l’exercice physique et encourager sa mise en application.

Une bonne nutrition, l’activité physique et la détente, sont les facteurs clés de la santé préventive. Une alimentation équilibrée, associée à une activité physique régulière pratiquée seule, accompagnée ou en groupe, sont sources réelles de plaisir et de bien-être, ainsi qu’un excellent moyen de protection contre l'excès de cholestérol, le diabète, l'obésité et favorisent la santé du cœur.

En effet, les changements du mode de vie ont des effets positifs sur les maladies cardio-vasculaires. Jack LaLanne, le Nord américain légendaire d’entraînement physique, mort en 2011 âgé de 96 ans, avait eu cette phrase célèbre : « L’exercice est roi et la nutrition est reine ». On peut certainement dire que l’heureux mariage des deux est primordial pour une bonne santé et que la ménopause est un excellent moment pour le mettre en application. »

Claudia Martins, infirmière spécialisée Clinique de la Ménopause


« Depuis plusieurs années déjà, la Clinique de la Ménopause du CHL permet aux femmes touchées par les symptômes divers et souvent méconnus de la ménopause, de vivre des moments d'écoute et de communication avec des professionnels de santé formés pour accompagner en toute sécurité et avec empathie ces changements qui s'opèrent lors de cette nouvelle étape dans la vie d'une femme. Nous sommes heureux de participer à un « dernier combat féministe à mener.

Le Figaro Madame, magazine féminin célèbre en France, a mis en ligne sur son site internet plusieurs podcasts, un reportage et des témoignages de célébrités internationales qui osent prendre la parole sur la ménopauseCette prise de parole est salutaire et engagée pour en finir avec la honte et le silence qui pèsent sur cette étape souvent difficile de la vie d'une femme. »

Maud Delporte, infirmière spécialisée Clinique de la Ménopause


« Après 50 ans, une femme sur deux aura une fracture dans sa vie. Voilà pourquoi il s'agit d'un moment clé pour évaluer son risque d'ostéoporose et adopter des stratégies de lutte contre ce fléau: alimentation, sport, compléments alimentaires et, dans certains cas, traitement médicamenteux. »

Dr Claudine Wirth, rhumatologue


« La ménopause rime souvent avec bouffées de chaleur, prise de poids...mais il existe d'autres effets à appréhender: sous l'effet de la chute hormonale, les tissus ont tendance à se relâcher, y compris le périnée. Cela peut occasionner des fuites urinaires, de gaz voire même de selles ou encore une descente d’organes. Il faut oser en parler car ce n’est pas une fatalité. Lors de votre passage à la Clinique de la Ménopause, nous pourrons réaliser un bilan périnéal, évaluer votre situation, répondre à vos questions, et vous orienter pour une prise en charge adaptée. »

Anne-Cécile Paoli, kinésithérapeute spécialisée rééducation périnée


« Sophrologie et ménopause : Les troubles liés à la ménopause sont variables d’une femme à l’autre tant dans leur expression que dans leur intensité. Malgré cela, cette période est redoutée par un grand nombre.

Les méthodes ayant une résonnance sur le corps peuvent aider à mieux vivre cette période. Elles sont efficaces car elles permettent de se réconcilier avec ce dernier, de le vivre à nouveau dans une approche positive. Il ne va plus être considéré comme source unique de désagréments mais à nouveau être réinvesti de façon agréable.  

La sophrologie est une méthode douce qui apporte une véritable aide, elle agit à plusieurs niveaux : 

  • au niveau physique : en se mettant à l’écoute de son corps, en accueillant ses sensations, ses perceptions, son ressenti et son vécu de façon positive, la sophrologie va permettre de retrouver une harmonie et de se réapproprier son corps sans fantasme ni jugement;
  • au niveau mental : l’orientation vers le positif que propose de vivre la sophrologie va avoir une incidence sur les pensées négatives. La ménopause pourra alors être vécue sur son versant positif … une nouvelle période de la vie s’amorce et elle peut être source de joies, de projets, de découvertes … ;
  • au niveau du stress : elle va offrir les outils permettant une meilleure gestion du stress ;
  • au niveau de l’humeur : la sophrologie apporte une aide à une meilleure gestion des émotions qui parfois sont difficiles à gérer et à endiguer. Elle va permettre de ne pas se laisser déborder celles-ci ;
  • au niveau des troubles du sommeil: la sophrologie va offrir des outils afin d’agir sur les difficultés d’endormissement, sur la fatigue mais également sur la récupération d’énergie.

Globalement, en réduisant les effets liés à ces changements physiques et mentaux, la sophrologie permet d’accéder à un mieux-être. Nous proposons cette approche en petits groupes en Clinique de la Ménopause pour les patientes qui nécessitent une approche non médicamenteuse. »

Nathalie Herreman, infirmière spécialisée en sophrologie


Nous ne sommes pas toutes égales devant la ménopause : certaines ne sentiront pas le moindre symptôme tandis que d’autres verront leur vie totalement chamboulée ; certaines auront les premiers signes à 45 ans et d’autres à 55 ; certaines seront traitées et d’autres non. 

Toutes les patientes ne nécessitent pas un traitement à la ménopause, encore moins un traitement hormonal. Cependant, il ne faut pas avoir peur des hormones : pour les patientes symptomatiques, ces hormones peuvent grandement améliorer leur qualité de vie. Pour les patientes avec moins de plaintes, une phytothérapie, des mesures hygiéno-diététiques et un accompagnement peuvent être suffisants. 

Le maître mot « traiter des plaintes par le traitement le moins fort possible, pendant le moins longtemps possible… » s’applique à toutes. Ainsi, chaque traitement doit être personnalisé. Osez en parler, et ne subissez plus, il existe des solutions.

Dr Juliette Fievez, gynécologue spécialisée en ménopause


Plus d’informations sur la Clinique de la Ménopause et le parcours de prise en charge y proposé, ici, sur notre site internet.

Bon à savoir : la Clinique de la Ménopause s'est elle aussi adaptée à la crise sanitaire: consciente qu’il est important de donner une réponse rapide aux femmes qui souffrent d'un mal-être suite aux symptômes de la ménopause, l’équipe a mis en place les téléconsultations et même des séances de sophrologie en ligne via« Visio » pour les patientes chez qui cette prise en charge est indiquée.   

Docteur Frédéric Schiltz

Docteur Frédéric Schiltz

Le Docteur  Frédéric Schiltz est médecin en Chirurgie Vasculaire.

Formation médicale de base  / Medizinische Grundausbildung :

  • Studium an der medizinischen Universität Innsbruck (Österreich) und an der medizinischen Fakultät der Universität des Saarlandes (Deutschland).  
  • 05/2014: 2. Staatsexamen an der Universität des Saarlandes und Approbation als Arzt
     

Spécialisations  / Fachgebiet :

  • 07/2014 – 07/2020: Facharztausbildung zum Gefäßchirurgen am Universitätsklinikum des Saarlandes in der Klinik für Allgemeine Chirurgie, Viszeral-, Gefäß- und Kinderchirurgie (Prof. Dr. M. Glanemann/Dr. R. Shayesteh)
  • Organentnahmechirurg 2018 – 2020 am Universitätsklinikum des Saarlandes
  • Seit Oktober 2020: Gefäßchirurg in der Abteilung für Gefäß- und Thoraxchirurgie im Centre Hospitalier de Luxembourg

Akademische Weiterbildungen:

  • Endovaskuläre Weiterbildung (APIUM-MED). Bonifatius Hospital Lingen (akademisches Lehrkrankenhaus der medizinischen Fakultät der Westfälischen Wilhelms-Universität Münster); 2017
  • Venen Sklerosierungsworkshop. Capio Klinik im Park, Venenzentrum Nordrhein-Westfalen; 2019
  • Vascular Trauma – Competence in Emergency Vascular Surgery. Bundeswehrkrankenhaus Ulm (Klinik für Gefäßchirurgie und Endovaskuläre Chirurgie; Priv.-Doz. Dr. M. Engelhardt); 2023

Mitgliedschaften:

  • ESVS: European Society for Vascular Surgery
  • DGG: Deutsche Gesellschaft für Gefäßchirurgie und Gefäßmedizin
  • SLCV: Société Luxembourgeoise de Chirurgie Vasculaire
  • CWIS: Chest Wall Injury Society
     

Intérêts particuliers / Besondere Interessen :

  • Behandlung von arteriellen und venösen Gefäßerkrankungen mit besonderem Interesse der hirnversorgenden Gefäße.
  • Membre du Groupe de Travail : Risques Vasculaires. Conseil Scientifique du Domaine de la Santé du Luxembourg.
     

Langues parlées : 

  • Luxemburgisch
  • Deutsch
  • Französisch
  • Englisch
20375 Frédéric Schiltz
CHL - CHL Centre

Chirurgie Vasculaire et Thoracique

Fax :
  +352 4411-6274
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 46

Tél : +352 4411-2738
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 40

Tél : +352 4411-2736
CHL - CHL

Praxiszentren Grevenmacher

Fax :
 
CHL - CHL Centre

Chirurgie Générale, Chirurgie Viscérale, Chirurgie Digestive, Chirurgie Endocrinienne

Fax :
  +352 4411-6274
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 30

Tél : +352 4411-2734
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