Le Docteur David Breuskin est médecin spécialiste en Neurochirurgie
Formation médicale de base :
2003-2009 : studies at medical school at University of Saarland
2010-2016: specialization in neurosurgery at the neurosurgical department of the University Hospital Saarland, Homburg/Saar
2016-2021: Specialist in Neurosurgery / consultant at the neurosurgical department of the University Hospital Saarland, Homburg/Saar
Spécialisations :
Specialization consists of surgical treatment of cerebral pathologies, such as brain tumours of the frontal, middle as well as posterior fossa, pituitary gland, pathologies of cerebro-spinal fluid passage (hydrocephalus), neurotraumatology, as well as degenerative and oncological pathologies of the spinal column.
Conférence présentée en visio-conférence le 14 octobre 2021, de 18h45 à 21h00, par le Dr Nicolas Desbiendras, Docteur en psychologie, Toulouse (France).
Programme:
Prendre soin des autres implique de prendre soin de soi.
L'interaction entre le soignant et son patient amène parfois le soignant à sortir de sa fenêtre de tolérance. Comment le repérer? Que faire? Peut-on l'éviter?
Nous aborderons ces questions pour sensibiliser les soignants et mieux les préparer dans leur rôle professionnel.
Dès le début de la pandémie, les équipes médico-soignantes du Laboratoire se sont pleinement investies pour que le CHL puisse disposer des dernières techniques et équipements de Biologie moléculaire requis pour la réalisation des PCR-Covid19.
Afin de disposer dans de meilleurs délais des résultats d’analyses et de détenir l’autonomie complète dans la réalisation des examens, le Laboratoire a revu son organisation et renforcé ses équipes. Ainsi, plusieurs techniciens sont venus rejoindre l'équipe de Biologie Moléculaire, en apportant, conjointement avec les biologistes, leur expertise et leurs compétences au service des patients et des cliniciens.
Aujourd'hui, cette analyse fondamentale est disponible à grande échelle sur des plages horaires élargies, sept jours par semaine, permettant aux équipes de terrain de prendre en charge et suivre les patients dans de meilleures conditions.
Cette organisation est aujourd'hui nécessaire pour un hôpital aigu comme le nôtre, hébergeant le Service National des Maladies infectieuses, mais aussi plusieurs services d'urgences et de soins intensifs et la salle d'opération, qui figurent parmi les plus gros demandeurs de cet examen.
La réalisation au CHL des examens répond aussi aux exigences sécuritaires liées à l'activité des plateaux techniques invasifs (frottis pré-interventionnels et préopératoires) et propose aux patients, mais aussi aux collaborateurs CHL, la possibilité de réaliser leurs prélèvements in situ et de disposer des résultats dans les meilleurs délais possibles (et même d'en être informés par SMS).
D'autre part, le Laboratoire réalise également cette analyse pour le compte d'autres institutions partenaires, comme le Rehazenter, le Centre de Colpach ou encore l'Hôpital de Steinfort
C'est donc avec une très grande fierté que nous arrivons aujourd'hui à une étape symbolique : la génération du 100.000ème résultat de PCR-Covid19 au CHL !
Un essai clinique visant à évaluer un nouveau mode d'administration de médicaments démarre au Luxembourg.
Le Luxembourg Institute of Health (LIH) et le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL) annoncent le lancement de « SCOL » (Study of Continuous Oral Levodopa), un essai clinique international visant à évaluer l'innocuité, la tolérance et l'efficacité du nouveau « DopaFuse System » pour l'administration orale continue de lévodopa pour une meilleure prise en charge des symptômes de la maladie de Parkinson. L'étude, menée simultanément en Italie, en Espagne et au Luxembourg, a le potentiel de révolutionner le traitement de cette maladie neurodégénérative courante en facilitant l'administration de médicaments et en réduisant les effets secondaires.
Le « DopaFuse System » de SynAgile pour l’administration de lévodopa.
La maladie de Parkinson est un trouble neurodégénératif progressif qui affecte principalement les neurones producteurs de dopamine (dopaminergiques), entraînant une baisse des niveaux de cette substance et l’apparition de symptômes tels que les tremblements, la raideur et des troubles de la motricité. Etant donné l’absence d’un traitement résolutif, pratiquement tous les patients atteints de la maladie de Parkinson sont soumis à un traitement symptomatique efficace de référence avec la lévodopa, ce qui rétablit les niveaux de dopamine, contrôlant ainsi certains des symptômes. Néanmoins, le traitement chronique par la lévodopa à travers des doses orales intermittentes est associé à des complications motrices à moyen terme, tandis que son administration intra-intestinale continue actuellement disponible − bien qu'entraînant une réduction des complications motrices − nécessite une chirurgie invasive avec de potentiels effets indésirables.
« Compte tenu des effets secondaires des modes d'administration de lévodopa actuels, une méthode alternative pour administrer ce médicament en continu et de manière non invasive tout en minimisant les effets secondaires moteurs reste un important besoin médical non satisfait pour les patients atteints de la maladie de Parkinson », déclare le Dr Berchem, Directeur Délégué à la recherche du CHL.
Dans ce contexte, SCOL vise à évaluer si le nouveau système « DopaFuse », développé par la société pharmaceutique SynAgile, peut réduire la fluctuation des taux de lévodopa dans le sang, par rapport à l'administration orale intermittente standard de lévodopa en comprimés. L'essai clinique évaluera également si le système est sûr, bien toléré et efficace pour soulager les symptômes moteurs.
Plus précisément, « DopaFuse » est un système intra-oral non invasif qui libère en continu une pâte de lévodopa à une vitesse contrôlée, et ceci directement dans l’arrière de la bouche du patient. Il se compose d'un dispositif de retenue dentaire, de son étui et d'un contenant de médicament à usage unique.
L'essai SCOL recrutera un total de 30 patients dans les 3 pays participants, dont un maximum de 10 seront inclus au Luxembourg. Les visites auront lieu au département de neurologie du CHL. L’étude sera menée avec le soutien de l’équipe « Transversal Translational Medicine » (TTM) du LIH et s'appuiera sur l'expertise en recherche clinique du Centre d'investigation clinique et épidémiologique (CIEC) du LIH. Les personnes âgées de plus de 30 ans avec un diagnostic confirmé de maladie de Parkinson et une bonne réponse à la lévodopa sont éligibles pour participer. La participation des patients à l’essai durera 29 jours.
Au début de l'étude, les participants seront hospitalisés au CHL pendant 3 jours pour recevoir une combinaison de comprimés de lévodopa standard par voie orale et d'un traitement par DopaFuse. Ils poursuivront ensuite la thérapie à leur domicile jusqu'au jour 14, avant d'être hospitalisés pour un autre jour pour des évaluations supplémentaires du traitement. Les évaluations de la sécurité et les suivis auront ensuite lieu à domicile jusqu'à la fin de l'essai. Des visites de suivi régulières au CHL sont prévues pendant toute la durée de l'étude, avec l'aide des équipes TTM et CIEC du LIH. Des données cliniques et des échantillons de sang seront également collectés dans le cadre de l'essai.
« L'étude SCOL est un autre exemple des efforts cliniques pionniers menés au Luxembourg. En effet, nous sommes l’un des trois premiers pays au monde à tester cette nouvelle méthode d’administration de la lévodopa, grâce à notre expertise de longue date dans la maladie de Parkinson, illustrée par des initiatives conjointes telles que le ‘National Centre of Excellence in Research on Parkinson’s Disease’. Nous sommes convaincus que notre approche hautement collaborative nous permettra de générer des données significatives et de contribuer à améliorer les résultats cliniques pour nos patients », conclut le professeur Rejko Krüger, investigateur principal auprès du site clinique du CHL au Luxembourg et directeur de TTM au LIH1.
1 Les affiliations supplémentaires du Prof Krüger sont comme suit: président et directeur de PEARL; Neuroscience clinique et expérimentale, Luxembourg Centre for Systems Biomedicine (LCSB), Université du Luxembourg; Coordinateur National Center for Excellence in Research – Parkinson’s disease (NCER-PD), Parkinson Research Clinic, Centre Hospitalier de Luxembourg.
Un essai clinique visant à évaluer un nouveau mode d'administration de médicaments démarre au Luxembourg.
Le Luxembourg Institute of Health (LIH) et le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL) annoncent le lancement de « SCOL » (Study of Continuous Oral Levodopa), un essai clinique international visant à évaluer l'innocuité, la tolérance et l'efficacité du nouveau « DopaFuse System » pour l'administration orale continue de lévodopa pour une meilleure prise en charge des symptômes de la maladie de Parkinson. L'étude, menée simultanément en Italie, en Espagne et au Luxembourg, a le potentiel de révolutionner le traitement de cette maladie neurodégénérative courante en facilitant l'administration de médicaments et en réduisant les effets secondaires.
Le « DopaFuse System » de SynAgile pour l’administration de lévodopa.
La maladie de Parkinson est un trouble neurodégénératif progressif qui affecte principalement les neurones producteurs de dopamine (dopaminergiques), entraînant une baisse des niveaux de cette substance et l’apparition de symptômes tels que les tremblements, la raideur et des troubles de la motricité. Etant donné l’absence d’un traitement résolutif, pratiquement tous les patients atteints de la maladie de Parkinson sont soumis à un traitement symptomatique efficace de référence avec la lévodopa, ce qui rétablit les niveaux de dopamine, contrôlant ainsi certains des symptômes. Néanmoins, le traitement chronique par la lévodopa à travers des doses orales intermittentes est associé à des complications motrices à moyen terme, tandis que son administration intra-intestinale continue actuellement disponible − bien qu'entraînant une réduction des complications motrices − nécessite une chirurgie invasive avec de potentiels effets indésirables.
« Compte tenu des effets secondaires des modes d'administration de lévodopa actuels, une méthode alternative pour administrer ce médicament en continu et de manière non invasive tout en minimisant les effets secondaires moteurs reste un important besoin médical non satisfait pour les patients atteints de la maladie de Parkinson », déclare le Dr Berchem, Directeur Délégué à la recherche du CHL.
Dans ce contexte, SCOL vise à évaluer si le nouveau système « DopaFuse », développé par la société pharmaceutique SynAgile, peut réduire la fluctuation des taux de lévodopa dans le sang, par rapport à l'administration orale intermittente standard de lévodopa en comprimés. L'essai clinique évaluera également si le système est sûr, bien toléré et efficace pour soulager les symptômes moteurs.
Plus précisément, « DopaFuse » est un système intra-oral non invasif qui libère en continu une pâte de lévodopa à une vitesse contrôlée, et ceci directement dans l’arrière de la bouche du patient. Il se compose d'un dispositif de retenue dentaire, de son étui et d'un contenant de médicament à usage unique.
L'essai SCOL recrutera un total de 30 patients dans les 3 pays participants, dont un maximum de 10 seront inclus au Luxembourg. Les visites auront lieu au département de neurologie du CHL. L’étude sera menée avec le soutien de l’équipe « Transversal Translational Medicine » (TTM) du LIH et s'appuiera sur l'expertise en recherche clinique du Centre d'investigation clinique et épidémiologique (CIEC) du LIH. Les personnes âgées de plus de 30 ans avec un diagnostic confirmé de maladie de Parkinson et une bonne réponse à la lévodopa sont éligibles pour participer. La participation des patients à l’essai durera 29 jours.
Au début de l'étude, les participants seront hospitalisés au CHL pendant 3 jours pour recevoir une combinaison de comprimés de lévodopa standard par voie orale et d'un traitement par DopaFuse. Ils poursuivront ensuite la thérapie à leur domicile jusqu'au jour 14, avant d'être hospitalisés pour un autre jour pour des évaluations supplémentaires du traitement. Les évaluations de la sécurité et les suivis auront ensuite lieu à domicile jusqu'à la fin de l'essai. Des visites de suivi régulières au CHL sont prévues pendant toute la durée de l'étude, avec l'aide des équipes TTM et CIEC du LIH. Des données cliniques et des échantillons de sang seront également collectés dans le cadre de l'essai.
« L'étude SCOL est un autre exemple des efforts cliniques pionniers menés au Luxembourg. En effet, nous sommes l’un des trois premiers pays au monde à tester cette nouvelle méthode d’administration de la lévodopa, grâce à notre expertise de longue date dans la maladie de Parkinson, illustrée par des initiatives conjointes telles que le ‘National Centre of Excellence in Research on Parkinson’s Disease’. Nous sommes convaincus que notre approche hautement collaborative nous permettra de générer des données significatives et de contribuer à améliorer les résultats cliniques pour nos patients », conclut le professeur Rejko Krüger, investigateur principal auprès du site clinique du CHL au Luxembourg et directeur de TTM au LIH1.
1 Les affiliations supplémentaires du Prof Krüger sont comme suit: président et directeur de PEARL; Neuroscience clinique et expérimentale, Luxembourg Centre for Systems Biomedicine (LCSB), Université du Luxembourg; Coordinateur National Center for Excellence in Research – Parkinson’s disease (NCER-PD), Parkinson Research Clinic, Centre Hospitalier de Luxembourg.
Ce lundi 26 juillet, le CHL a organisé, en collaboration avec le Ministère de la Santé et la Direction de la santé, une campagne "flash" de vaccination Covid-19 destinée aux personnels hospitaliers et aux sous-traitants hospitaliers non vaccinés. Cette campagne flash qui s'est déroulée toute la semaine dans les différents hôpitaux a rencontré un grand succès au CHL.
A cette occasion, Mme Paulette Lenert, Ministre de la Santé a visité le Centre de Vaccination du CHL. Les différentes actions de sensibilisation à la vaccination menées au CHL lui ont été présentées. Mme Lenert a pu s'entretenir avec une ambassadrice de la vaccination et avec les personnes qui ont coordonné la campagne de vaccination au CHL depuis le début de l'année. Elle a remercié chaleureusement les équipes du CHL pour les efforts réalisés pour soutenir la stratégie nationale de vaccination des professionnels hospitaliers.
C’est la promesse de ce service coordonné par LUXITH(1), avec l’assistance de l’Agence eSanté et proposé par les 4 hôpitaux aigus de Luxembourg : le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), le Centre Hospitalier du Nord (CHdN), le Centre Hospitalier Emile Mayrisch (CHEM) et les Hôpitaux Robert Schuman (HRS).
En effet, dès le mois de juillet, tous les patients ayant un Dossier de Soins Partagés (DSP) pourront bénéficier de ce service centralisé et sécurisé.
Les avantages ?
Faciliter la prise en charge et le parcours patient puisque les données peuvent être partagées entre tous les Professionnels de Santé
Éviter la redondance des examens
Pouvoir télécharger les documents facilement sans s’encombrer des CD et DVD préalablement utilisés.
Un envoi rapide, voire instantané à la demande du patient
Dernier point, et non des moindres, le patient garde son droit à l’opposition à tout moment et peut refuser le partage de ses données.
Il n’y a définitivement plus aucune raison d’égarer ses comptes rendus et imageries médicales avec l’autorisation de partage via le DSP !
Le toucher: le bébé est toujours en contact: avec les parois de l’utérus, le placenta, le cordon, le liquide amniotique ou le frère/sœur si présent, c’est pourquoi le peau à peau sera favorisé dès la naissance afin de mettre le nouveau-né dans un climat de sécurité. Les infirmières de néonatologie ont tout à fait conscience de l’importance de ce toucher. C’est pour cela que l’on retrouve dans les couveuses des prématurés de petites pieuvres tricotées qui recréent le toucher du cordon ombilical dans l’environnement sensoriel et humide que l’enfant connait in utéro.
Le goût et l’odorat: le liquide amniotique est rempli de différentes saveur et des phéromones de la maman ainsi que de l’entourage proche, le peau à peau va là encore permettre de retrouver une odeur connue qui le rassure et son sens olfactif va l’aider à trouver le sein spontanément dès la naissance La peau du bébé est imprégnée des odeurs qu’il connait et le rassurent, il est donc important de ne pas les lui enlever tout de suite, c’est pour cela que le nouveau-né n’est pas baigné directement après sa naissance. Ces odeurs sont un repère qui l’apaisent. Si le bébé nécessite de passer par le service de Néonat, il sera proposé aux parents d’apporter un doudou , un foulard ou un vêtement imprégné de leurs odeurs. A son contact l’enfant sera rassuré.
L’ouïe: Dans le ventre, le brouhaha est incessant, gazouillis intestinaux, battement du cœur, bruits extérieurs déformés, contre le cœur de sa maman, il retrouve des repères connus, apaisants et sécurisants. Il est important de parler à son bébé en utilisant des phrases courtes et simples et ne pas hésiter à lui verbaliser les émotions que l’on ressent.
La vue: le bébé in-utéro gravite dans une douce pénombre, c’est pourquoi nous l’accueillerons dans une atmosphère tamisée. A nouveau, la présence du bébé sur sa mère va faciliter le premier échange de regard et la mise en place du processus d’attachement. Dès les premiers moments de vie, le bébé est capable de distinguer les formes en mouvement mais le tout est flou, la vue devient plus nette à une distance entre 18-30cm.