Je vis avec un diabète : pourquoi est-ce que je prends autant de médicaments ?

Je vis avec un diabète : pourquoi est-ce que je prends autant de médicaments ?

Le diabète est une maladie chronique caractérisée par un trouble du métabolisme du glucose, entraînant une élévation anormale du taux de sucre dans le sang. En cas de diabète, le taux de sucre sanguin dépasse ou est égal à 1,26 g/L. Malgré cette élévation, les organes vitaux tels que le cerveau, le cœur et les muscles présentent un déficit en sucre.

Normalement, le taux de sucre dans le sang se situe entre 70 mg/dl à jeun ou entre les repas.

On parle de « pré-diabète » lorsque le taux de sucre dans le sang se situe entre 110 et 125 mg/dl à jeun ou entre les repas.


Pourquoi dit-on « Les diabètes » ?

Les diabètes regroupent différentes maladies affectant le pancréas, le foie, ou d'autres organes tels que le tube digestif, les reins, les muscles, voire plusieurs organes simultanément. Dr Catherine Atlan, médecin spécialiste en endocrinologie-diabétologie au CHL, précise : « Il existe en réalité divers types de diabètes, et même dans le cas du diabète de type 2, chaque patient présente des variations spécifiques de la maladie. Cependant, le point commun est que le sucre ne peut plus pénétrer efficacement dans les organes, ce qui entraîne une élévation du taux de sucre dans le sang. La cause du diabète est ainsi souvent plurifactorielle, impliquant la combinaison de plusieurs organes. »


Le diabète est-il dangereux pour ma santé ?

Un diabète non contrôlé peut entraîner des complications graves, notamment des problèmes cardiaques (crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux…), des lésions nerveuses (picotements, engourdissements, douleurs…), des maladies rénales (insuffisance rénale…) et des troubles de la vision (atteinte de la rétine, perte de la vue…).


Comment traite-t-on le diabète ?

Le traitement personnalisé du diabète repose sur le principe de l'escalade, une approche progressive visant à ajuster la thérapie en fonction de la réponse du patient au traitement.

Lorsque le diabète est diagnostiqué, la première étape consiste à prescrire un ou deux médicaments. Ensuite, une analyse de sang, mesurant le taux d'HbA1c (hémoglobine glyquée), est réalisée après 3 à 6 mois pour évaluer le contrôle glycémique. Si le taux d'HbA1c est significativement élevé, le patient est encouragé à surveiller régulièrement sa glycémie, soit par le prélèvement d’une gouttelette de sang au bout du doigt, soit à l'aide d'un capteur de glycémie.

Un taux d'HbA1c élevé est associé à un risque accru de complications. Par conséquent, l'objectif thérapeutique est de maintenir l'HbA1c aussi près que possible de 7%, correspondant à une moyenne de sucre sanguin inférieure à 150 mg/dl au cours des trois derniers mois. Un individu non diabétique présente généralement un taux d'HbA1c compris entre 6 et 6,5%. Il est dès lors crucial d'enseigner au patient à comprendre cette moyenne, bien que parfois elle puisse ne pas refléter les variations du taux de sucre tout au long de la journée.

Si, après quelques semaines, les valeurs de sucre sanguin reviennent à des niveaux acceptables, le traitement est maintenu. Cependant, si le contrôle glycémique reste insatisfaisant, les ajustements sont nécessaires, soit en augmentant la dose du médicament actuel, soit en ajoutant un nouveau médicament.

Dans le cas d'un diabète de type 2 associé à un excès de poids, la gestion du poids est également un élément clé du traitement. Cela implique une surveillance attentive de l'alimentation, avec une réduction des portions et l'évitement d'aliments susceptibles d'augmenter significativement le taux de sucre, tels que les pâtisseries et les sodas.


Les différents médicaments utilisés contre le diabète

Il existe une diversité de médicaments destinés au traitement du diabète, chacun adapté à des besoins spécifiques :

  • L’insuline. Utilisée lorsque le pancréas ne produit plus d'insuline, que ce soit dans le diabète de type 1, le diabète de type 2 ou d'autres types de diabète. Il existe plusieurs types d'insuline, comprenant les versions lentes, longues et rapides.
  • Des médicaments favorisant le fonctionnement du foie et des muscles : comme la Metformine et le Glucophage, qui agissent en améliorant la sensibilité à l'insuline.
  • Des médicaments stimulant le pancréas : Ces médicaments visent à soutenir le fonctionnement du pancréas dans la production d'insuline.
  • Des médicaments améliorant l'efficacité de l'insuline et réduisant l'appétit : par exemple, l’Ozempic
  • Des médicaments favorisant l'élimination du sucre par les reins
  • Des médicaments stimulant la production d'insuline par le pancréas
  • Des médicaments améliorant la réponse des organes à l'insuline

Dr Atlan : « Cette diversité de médicaments permet une personnalisation du traitement en fonction des besoins spécifiques de chaque individu. Cependant, cela peut signifier que certains patients nécessitent jusqu'à six médicaments différents pour traiter leur diabète. L'objectif ultime est d'atteindre une régulation normalisée du taux de sucre, et le choix des médicaments dépendra de la situation clinique particulière de chaque patient. »

Deux messages du Dr Atlan, destinés aux patients, concernant la prise de médicaments pour le traitement du diabète :

  • Évitez d'arrêter le médicament simplement parce que la boîte est vide. Le diabète est une maladie chronique nécessitant un traitement continu.
  • Même lorsque les niveaux de sucre dans le sang ou le taux de HbA1c sont satisfaisants, ne suspendez pas votre traitement. C'est grâce au médicament que ces valeurs ont pu s'améliorer. En interrompant le traitement, les niveaux de sucre risquent de remonter.

Le débat sur les effets secondaires et l'arrêt des médicaments

Si les effets indésirables sont généralement prévisibles, les effets indésirables graves sont quant à eux très rares. Dr Atlan : « En tant que médecin, nous devons expliquer aux patients que tous les médicaments contre le diabète ont des effets bénéfiques ainsi que des effets indésirables, parfois plus ou moins tolérables tels que la diarrhée ou le besoin fréquent d'uriner. Prévenir le patient est primordial pour qu'il ne soit pas surpris ni effrayé, mais au contraire, qu'il reste vigilant. Souvent, il suffira de modifier la dose pour rendre les effets secondaires plus tolérables. Parfois, l'arrêt du médicament est envisagé, mais il devra être remplacé. Dans ce contexte, il est particulièrement important que le patient prenne note des raisons pour lesquelles le médicament n'est plus pris, ce qui s'est passé avec ce médicament, afin que le prochain médecin rencontré ne propose pas le même traitement. »


Pourquoi est-ce que je prends d’autres médicaments que ceux du diabète ?

De nombreux patients sont amenés à prendre d'autres médicaments que ceux destinés au traitement de leur diabète, pour les raisons suivantes : 

  • Réduire le risque cardiovasculaire en maîtrisant deux facteurs de risque majeurs, à savoir un taux élevé de cholestérol et une hypertension artérielle. Cela implique la régulation du taux de cholestérol LDL et le maintien d'une tension artérielle cible de 130/80 mmHg à 140/70 mmHg chez les personnes qui vivent avec un diabète.
  • Traiter les complications du diabète, telles que les atteintes oculaires, rénales, nerveuses (avec recours à des antidouleurs), des gros vaisseaux et du cœur, ainsi que les infections.
  • Soigner d’autres problèmes de santé (polyarthrite, ostéoporose, cancer…). Dr Atlan : « Vivre avec le diabète peut s'accompagner d'autres maladies, parfois graves comme le cancer.  Or, un diabète mal équilibré accroît le risque de cancer, d'où la nécessité de faire dépistages réguliers (consultation chez le gynécologue, mammographie, examens de la prostate, etc.). De plus, il faut savoir que les traitements contre le cancer peuvent aggraver le diabète en augmentant le taux de sucre, réduisant ainsi l'efficacité du traitement anticancéreux. Une attention particulière doit donc être accordée lors de périodes de chimiothérapie, d'immunothérapie, de corticothérapie, pour maintenir un contrôle optimal du diabète. »

Peut-on espérer une rémission du diabète ?

Dr Atlan répond à la question : « Oui, cela est possible, surtout au début de la maladie, notamment lorsqu'une perte de poids significative est observée chez le patient. Cependant, il est important de noter que cette période de rémission, résultant exclusivement d'un changement radical du mode de vie sans recours à des médicaments, demeure rare. Une surveillance attentive, notamment à travers des mesures régulières du taux moyen de sucre, est donc essentielle. Il faut toutefois rester extrêmement prudent : le diabète est une maladie chronique, et son origine ne se limite pas uniquement au surpoids et à l’obésité. Des facteurs, tels que la génétique, entrent également en jeu dans son apparition. »


L’importance du rôle actif du patient dans sa prise en charge

Le patient est vivement encouragé à prendre une part active dans sa prise en charge en développant une connaissance approfondie des médicaments qu'il utilise pour traiter son diabète. Dr Atlan : « Le patient devrait être en mesure d'identifier les médicaments qu'il consomme, d'en connaître le dosage, d'approfondir sa compréhension du mode de fonctionnement des médicaments, de comprendre leur utilité, ou encore d'être conscient des circonstances éventuelles pouvant entraîner leur interruption. De plus, il est vivement recommandé au patient de maintenir une surveillance régulière de ses stocks et de veiller à prendre ses médicaments quotidiennement, même pendant les périodes de vacances. »


Photo du Docteur Atlan
Cet article est issu d’une mini-conférence intitulée "Ma vie avec le diabète : pourquoi la nécessité d'une prise abondante de médicaments ?" présentée par le Dr Catherine Atlan, médecin spécialiste en endocrinologie-diabétologie au Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), à l'occasion de la Journée Mondiale du Diabète célébrée le 14 novembre 2023.
 
Le CHL, officiellement reconnu et désormais inscrit au registre européen des établissements de tissus et de cellules, réintensifie son activité de prélèvement de cornée

Le CHL, officiellement reconnu et désormais inscrit au registre européen des établissements de tissus et de cellules, réintensifie son activité de prélèvement de cornée

Depuis ce 5 octobre 2023, le CHL est officiellement reconnu et inscrit au registre des établissements de tissus de l’Union européenne, sous le nom de « CHL OPHTALMIQUE ».

Photo des auditeurs de Homburg

Grâce à une convention officielle signée en 2012 avec la banque de cornées LIONS de la région « Saar-Lor-Lux-Trier/Westpfalz » de la Clinique ophtalmologique de l’Hôpital Universitaire de la Sarre, à Homburg, le CHL est devenu le premier centre préleveur de cornées reconnu au Luxembourg, et a réalisé plus de 380 prélèvements de cornée en 10 ans.

Suite à un changement de réglementation européenne, le CHL s’est engagé à la mettre en application et a donc participé à une série d’inspections et d’audits menés par la Direction de la Santé. Après plusieurs mois de travail, impliquant tous les collaborateurs concernés, le CHL est désormais le premier établissement hospitalier du Luxembourg à être conforme à la directive européenne sur le prélèvement de cornées qui a été transposée en loi nationale.

Aujourd’hui, le CHL s’est donc donné pour objectif d’augmenter considérablement le nombre de ses prélèvements de cornée avec la volonté d’obtenir le prélèvement d’une soixantaine de cornées par an. Le but ultime est de réduire considérablement le temps d’attente de greffe de cornée chez les patients concernés au niveau de la Grande Région. Et de fait, on observe dans ce contexte une augmentation significative de patients luxembourgeois. Les listes d’attentes sont malheureusement trop longues. Autre constat : dans le grand public, beaucoup de personnes méconnaissent la possibilité de faire un don de cornée après leur décès.

Chaque année, de nombreux patients luxembourgeois bénéficient d'une greffe de cornée, qui leur permet de sauver leur vue et de retrouver une autonomie dans leur vie quotidienne. Cette greffe s'effectue dans des hôpitaux étrangers, notamment à l'Hôpital Universitaire de Hombourg, en Allemagne. Jorge de Sousa, infirmier anesthésiste, chef de projet au CHL pour les activités de prélèvement de cornée : « Si le Luxembourg apporte sa contribution aux prélèvements de cornée pour la Grande Région, les patients résidents luxembourgeois pourront être transplantés dans les meilleurs délais. Pour être en mesure de réaugmenter son activité de prélèvements de cornée, le CHL a étendu la possibilité des prélèvements de cornée à l’ensemble des unités de l’établissement.»

Le don de cornée reste assez méconnu au sein de la population, afin de remédier à cela, le CHL s’engage à sensibiliser davantage le grand public ainsi que les équipes médico-soignantes sur ce sujet.

La collaboration avec Homburg

Ensemble avec les partenaires de la Clinique ophtalmologique de l’Université de la Sarre à Homburg, une équipe de collaborateurs du CHL a été spécialement formée au prélèvement de la cornée.

Une fois les tissus prélevés, le CHL organise par la suite le transfert sécurisé des tissus vers la banque de cornées LIONS qui fournit et stocke les tissus oculaires sains amenés à être utilisés pour des greffes de cornée. Une équipe de professionnels recueille, évalue et distribue les tissus oculaires qui seront ensuite utilisés pour le rétablissement de la vue. Une fois les cornées transplantées, le CHL reçoit une communication écrite de la Clinique ophtalmologique de l’Université de la Sarre à Homburg sur l’attribution des cornées.

Depuis 2006, près de 400 patients luxembourgeois ont pu bénéficier d’une greffe de cornée à l'Hôpital Universitaire de Hombourg, en Allemagne.

Le don de cornée

La cornée est la partie transparente de la membrane qui enveloppe l’œil. Sa fonction principale est de protéger l’œil et de transmettre la lumière à la rétine.

La cornée peut un jour perdre de sa transparence, pour plusieurs raisons (blessure, corps étranger, produit corrosif, infection, maladie héréditaire…). Conséquence : des troubles de la vision apparaissent. Dans les cas les plus graves, ces troubles visuels peuvent aller jusqu’à cécité, c’est-à-dire à la perte totale de la vue. Seule une greffe de cornée permet de rétablir la vue.

Jorge de Sousa : « La greffe de cornée est la transplantation de tissu la plus fréquente. Le taux de réussite s’élève à 90% dans la majorité des cas, le risque de rejet est très faible. À l’exception de quelques contre-indications, tout le monde peut être donneur, indépendamment de son âge. Le port de lunettes de vue ou de lentilles de contact n'empêche pas d'être donneur. Chez un enfant âgé de moins de 5 ans, le prélèvement de la cornée n’est toutefois pas pratiqué. »

Le prélèvement de la cornée est possible jusqu’à 72 heures après le décès. Seule la fine pellicule est prélevée sur le corps du défunt. Le globe oculaire et l’iris ne sont pas prélevés et l’aspect esthétique reste impeccable. La dignité et l’intégrité corporelle du défunt sont ainsi scrupuleusement respectées.

Le prélèvement de cornée nécessite le consentement écrit de la personne décédée (ou de la famille du défunt). 
 

Acquisition d’un scanner permettant un examen en charge sur le site CHL Eich (Cone-beam CT)

Acquisition d’un scanner permettant un examen en charge sur le site CHL Eich (Cone-beam CT)

En octobre 2023, le service de Radiologie interventionnelle et diagnostique a réceptionné sur le site d’Eich le premier scanner du CHL permettant de réaliser des examens en charge, indispensables à l’évaluation de certains patients atteints de pathologies de l’appareil locomoteur. Il s'agit d'une première au Luxembourg.

Intérêt dans la chirurgie orthopédique et la médecine du sport

Lors d’affections du membre inférieur, une limite importante du bilan radiologique actuel (radiologie conventionnelle, scanner, arthroscanner, échographie, IRM) est qu’il permet uniquement l’acquisition d’images en position couchée. Les pathologies du membre inférieur sont toutefois souvent des affections dites fonctionnelles. En réalisant l’examen en position debout, la mise en charge des membres inférieurs permet de replacer le squelette dans sa position quotidienne. Il est ainsi possible de déceler d’éventuels rétrécissements de l'espace articulaire, frottements entre les os et/ou un mauvais alignement du membre qui ne seraient pas détectables en position couchée.

Image du scanner

Le scanner en charge est particulièrement intéressant pour l’examen du pied, de la cheville ou du genou. Par exemple, après une entorse de l’une de ces articulations, l’articulation entière peut souffrir et devenir instable avec le temps. Les tissus mous (par exemple les ligaments), s’ils sont trop sollicités, peuvent en effet perdre leur capacité à maintenir l’articulation en appui. Le scanner en charge permettra de déceler comment l’articulation s’adapte, de mieux planifier les interventions chirurgicales en fonction de cette adaptation ainsi que d’assurer le suivi des patients, qu’ils soient opérés ou non. Le scanner en charge permettra aussi de contrôler les implants, s’ils sont anormalement mobiles ou présentent une usure précoce.

Avantages par rapport aux techniques d’imageries existantes

Il existe déjà des radiographies en charge. Celles-ci sont par exemple utilisées pour évaluer le stade de pincement articulaire au niveau du genou présent lors d’une arthrose avancée. Les radiographies ne permettent toutefois pas de visualiser les tissus mous en 3 dimensions comme le propose le scanner en charge. Leur apport diagnostique reste donc très limité et spécifique à certaines pathologies.

Les scanners classiques et les IRM sont plus coûteux et volumineux que le scanner en charge. Ce dernier permet d'obtenir des images d’un membre en 3 dimensions plus rapidement et avec une meilleure résolution, permettant une analyse plus précise de l’articulation.  De plus, les doses de rayonnement sont moindres comparées au scanner standard et il représente une bonne alternative à l'IRM chez les patients souffrant de claustrophobie ou d'autres contre-indications à cet examen.

Avantages pour la société civile

Le scanner en charge peut permettre de remplacer certains examens actuels (radiographies, IRM, arthro-CT scans genoux et chevilles), allégeant en partie les temps d’attente pour un rendez-vous. Pour le patient, l’examen est aussi plus confortable (temps de réalisation moindre, non fermé comme l’IRM) et moins irradiant.

Dans les situations où le scanner en charge est indiqué et grâce à la précision de l’imagerie en 3 dimensions, le patient pourra bénéficier d’une meilleure qualité de diagnostic et d’une mise en place plus rapide d’un traitement approprié. Ceci permettra de limiter certaines arthroscopies diagnostiques jusqu’alors nécessaires par manque de technologies adaptées. En cas d’acte chirurgical, celui-ci pourra aussi être mieux planifié et personnalisé. L’acte chirurgical sera plus précis et sûr avec une diminution des récidives et reprises chirurgicales.

Enfin, en permettant une reconstruction précise de l’anatomie en 3 dimensions, le scanner en charge aura aussi un rôle non négligeable dans la formation et d’éducation des médecins en formation. 
 

Docteur Eugenie Riesenkampff

Docteur Eugenie Riesenkampff

Dr Riesenkampff arbeitet als Kinderkardiologin am CHL.
Der Kontakt mit Patienten und ihren Eltern ist ihr besonders wichtig und sie freut sich, ihre Erfahrungen am CHL einzubringen.

Ausbildung zur Kinderärztin und Kinderkardiologin an der Charité Berlin und am Deutschen Herzzentrum Berlin (jetzt Deutsches Herzzentrum der Charité).
Langjährige Erfahrung in der Betreuung von Patienten mit Angeborenem Herzfehler vom Säuglings- bis ins Erwachsenen-Alter mit Spezialisierung in der Bildgebung mit MRT.
Zuletzt "Clinical Research Fellow" am Hospital for Sick Children in Toronto/Kanada (bewertet als Bestes Kinderkrankenhaus weltweit/Newsweek 2022)

Doktorarbeit in Berlin und Forschungstätigkeit in Berlin und Toronto mit Veröffentlichungen in renommierten Fachzeitschriften und Vorträgen auf internationalen Kongressen.

Mitgliedschaften:  DGKJ (Deutsche Gesellschaft fuer Kinderheilkunde und Jugendmedizin)
SCMR (Society for Cardiovascular Magnetic Resonance)


Le Dr Riesenkampff travaille comme cardiologue pédiatrique au CHL.
Le contact avec les patients et leurs parents est particulièrement important pour elle et elle se réjouit de pouvoir apporter son expérience au CHL.

Formation de pédiatre et de cardiologue pédiatrique à la Charité Berlin et au Deutsches Herzzentrum Berlin (désormais Deutsches Herzzentrum de la Charité).
Longue expérience dans le suivi de patients atteints de cardiopathie congénitale, du nourrisson à l'adulte, avec spécialisation dans l'imagerie par IRM.
Dernier "Clinical Research Fellow" à l'Hospital for Sick Children à Toronto/Canada (classé meilleur hôpital pour enfants au monde/Newsweek 2022).

Thèse de doctorat à Berlin et activités de recherche à Berlin et Toronto avec des publications dans des revues spécialisées renommées et des présentations lors de congrès internationaux.
Membres de l'association :  DGKJ (Société allemande de pédiatrie et de médecine de l'adolescence)
SCMR (Society for Cardiovascular Magnetic Resonance)
 


Langues parlées :

  • Allemand
  • Anglais
  • Francais
CHL - CHL KannerKlinik

Pédiatrie Générale

Fax :
  +352 4411-6116
CHL KannerKlinik

Hôpital de jour de pédiatrie

Tél : +352 4411-3487
CHL KannerKlinik

Unité d'hospitalisation 64

Tél : +352 4411-6464
CHL KannerKlinik

Unité d'hospitalisation 62

Tél : +352 4411-3164
Workshop conseils en image et estime de soi

Workshop conseils en image et estime de soi

Le Kriibszentrum du CHL offre des ateliers de conseil en image et d’estime de soi aux patientes d’oncologie.

Ils sont organisés par une infirmière spécialisée en image corporelle avec intervention selon le thème d’un intervenant de l’équipe pluridisciplinaire : esthéticienne clinique, case manager, ou autre. 

Il s’agit d’ateliers de groupe (maximum 4 personnes) qui permettent d’échanger et d’aborder différentes thématiques pour se réconcilier avec son image de soi et maintenir son estime de soi malgré la maladie et les traitements .

Horaire : 9h-12h30

Lieu : Salle rose à l’entrée de l’Unité 26
 

Congress : Evolutionary Roots of Human Brain Diseases

Congress : Evolutionary Roots of Human Brain Diseases

Congress held on February 22, 23 and 24, 2024 at the Hôtel Légère in Muensbach, Luxembourg.

Under the Auspices of Société des Sciences Médicales de Luxembourg


SCIENTIFIC COMMITTEE:

Nico J Diederich, MD

  • Consultant in Neurology at the Centre Hospitalier de Luxembourg and Adjunct Professor of Neurology at the University of Cologne (Germany)

Martin Brüne, MD

  • Professor of Psychiatry and Head of the Division of Social Neuropsychiatry and Evolutionary Medicine at the LWL University-Hospital, Ruhr-University Bochum (Germany)

Katrin Amunts, MD

  • Professor Director of the C. and O. Vogt-Institute for Brain Research, Heinrich-Heine University Duesseldorf, and of the Institute of Neuroscience and Medicine Research Center Juelich (Germany)

Christopher G Goetz, MD, FAAN

  • Professor of Neurological Sciences and Pharmacology at Rush Medical College, Chicago (USA)

PROGRAM:

SESSION 1 : THURSDAY, FEBRUARY 22, 2024 / CHAIR : KATRIN AMUNTS
  • 14h00 : Welcome address - Guy Berchem - Centre Hospitalier de Luxembourg and Luxembourg Institute of Health
  • 14h10 : Introduction to the congress - Nico Diederich - Centre Hospitalier de Luxembourg
  • 14h20 : Human telencephalization - Katrin Amunts KEYNOTE
  • 14h50 : General aspects in the evolution of glia cells - Corrado Cali - Department of Neuroanatomy, University of Turin (Italy)
  • 15h10 : Metabolic evidence supporting the evolution of glial cells - Pierre Magistretti - Emeritus Professor Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne and King Abdullah University of Science and Technology (Switzerland and Saudi Arabia)
  • 15h30 : The overstrain on mitochondria - Anne Grünewald - Luxembourg Centre for Systems Biomedicine, Esch-Belval (Luxembourg)
  • 16h00 : Break
  • 16h20 : Intrinsic templates for neurodegeneration - Toshiki Uchihara - Program Director, University of Hawaii postgraduate medical education program at Okinawa Chubu Hospital, Okinawa, Japan
  • 16h50 : Goal-directed and habitual behaviours - Ledia F. Hernandez - Network center for Biomedical Research, Carlos lI Health Institute/Madrid (Spain)
  • 17h20 : Adaptive archaic introgression - Olga Dolgova - Centre Nacional d'Analisi Genòmica; Centre de Regulació Genomica, Barcelona (Spain)
  • 17h50 : Round table - Lead: Michel Heneka - Director, Luxembourg Centre for Systems Biomedecine, Esch-Belval (Luxembourg)
  • 18h15 : Cocktail Party and Networking

 

SESSION 2 : FRIDAY, FEBRUARY 23, 2024 / CHAIR : NICO DIEDERICH
  • 9h00 : Differences in brain gene expression between humans and primates - Genevieve Konopka - Department of Neuroscience, University of Texas, Dallas (USA)
  • 9h30 : Alzheimer's Disease, the parietal lobes, and the evolution of the human genus - Emiliano Bruner - Centro Nacional de Investigación sobre l Evolución Humana, Burgos (Spain) KEYNOTE
  • 10h10 : Parkinson's disease - overstrain of basal gangia and brainstem nuclei - Christopher G Goetz
  • 10h40 : Brain diseases associated with unstable repeats - Peng lin - Department of Human Genetics, Emory University, Atanta (USA)
  • 11h00 : Pause
  • 11h30 : The Properties of Cortico-motoneuronal. Connections and their Evolutionary Significance for Amyotrophic Lateral Sclerosis - Roger lemon - Department of Cinical and Movement Neurosciences, UCL Queen Square Institute of Neurology, London (United Kingdom)
  • 12h00 : Round table - Lead: Rejko Krüger - Centre Hospitalier de Luxembourg, Luxembourg Institute of Health, Luxembourg, Centre for Systems Biomedicine, Esch-Belval (Luxembourg).
  • 12h30 : Lunch

 

SESSION 3 : FRIDAY, FEBRUARY 23, 2024 / CHAIR : MARTIN BRÜNE
  • 14h00 : REM sleep behaviour disorder: nocturnal replay of "fight and flee? - Nico Diederich - Centre Hospitalier de Luxembourg
  • 14h30 : Mood disorders: An evolutionary psychoneuroimmunological approach - Markus / Rantala - Department of Biology, University l Turku, Turku (Finland)
  • 15h00 : ADHD: lost benefit of excessive novelty - Annie Swanepoel - Learning Disability team, North East London NHS Foundation, London (United Kingdom)
  • 15h30 : Pause
  • 15h50 : Substance abuse: An evolutionary perspective of reward and motivation principles - Roger Sullivan - Department of Anthropology. California State University
  • 16h20 : Schizophrenia: Embracing the Spectrum - John S Allen - Department of Anthropology, Indiana University, Bloomington, Indiana (USA) KEYNOTE
  • 16h50 -17h20 : Round table - Lead : Alfonso Troisi - Department of Systems Medicine, Unives of Rome Tor Vergata, Rome (Italy)

 

SESSION 4 : SATURDAY, FEBRUARY 24, 2024 / CHAIR : CHRISTOPHER G GOETZ
  • 9h00 : Conditions of comparative brain connectomics - Kathleen S Rockland - Department of Anatomy and Neurobiology, Boston University School of Medicine, Boston (USA)
  • 9h30 : Are evolutionary concepts helpful in designing preventive strategies for brain diseases? - Gilberto Levy - Independent Researcher, Rio de Janeiro (Brazil)
  • 10h00 : Evolutionary aspects of neuropsychopharmacology - Martin Brüne KEYNOTE
  • 10h40 : Pause
  • 11h00 : Ongoing human evolution? - Nicole Bender - Institute of evolutionary medicine, University of Zürich (Switzerland)
  • 11h30 : Ongoing cultural evolution outpaces ongoing biological evolution - Jean-Pierre Changeux - Emeritus professor, Department of Neuroscience, Pasteur Institute and Collège de France, Paris (France)
  • 12h00 : Round table discussion - Lead: Axel Karenberg - Institute for the History of Medicine and Medical Ethics, University of Cologne, Cologne (Germany)
  • 12h30 : Wrap-up - Sten Grillner - Distinguished Professor , Karolinska Institute Stockholm (Sweden)

REGISTRATION:

There is no registration fee, but places are limited.

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Le CHL recrute un(e) secrétaire médical(e) (m/f)

Le CHL recrute un(e) secrétaire médical(e) (m/f)

Pour le service de Psychiatrie adulte. Sous contrat à durée indéterminée à temps plein.
 

Mission :

Le secrétaire médical assure le fonctionnement des secrétariats médicaux. Il est un collaborateur direct du médecin et contribue à fournir au sein d'une équipe pluridisciplinaire une prise en charge efficiente du patient.

Il est chargé de la gestion administrative des dossiers des patients et contribue à la délivrance des renseignements d’ordre général, dans ses domaines de compétences. Il traite et coordonne les opérations et les informations médico-administratives du patient.

Le secrétaire médical participe à l’élaboration et met en œuvre les processus administratifs relatifs à la gestion des rendez-vous, des admissions, la gestion des dossiers, la facturation, et la gestion du courrier médical. Il recueille et gère l’information, et assure sa bonne diffusion auprès des différentes parties prenantes.
 

Tâches principales :

  • Définir et gérer les activités du secrétariat.
  • Réaliser les différentes tâches techniques et administratives.
  • Communiquer dans son environnement professionnel.
  • Contribuer à la valorisation et à l’évolution de l’exercice professionnel.
  • Former et encadrer les nouveaux collaborateurs ainsi que les stagiaires.
     

Profil recherché :

  • Diplôme DAP ou Bac et expérience professionnelle en secrétariat médical,

  • Expérience professionnelle dans le secrétariat médical,

  • Connaissances techniques des processus (RV, admission, courrier, dossiers, facturation).

  • Formation complémentaire : Prise en charge de l’urgences vitale,

  • Connaissances informatiques : SAP R/3, GroupWise, Word, Excel, …

  • Connaissances linguistiques : français, luxembourgeois, allemand. La connaissance de toute autre langue est considérée comme un avantage.

  • Formation en secrétariat médical est considérée comme un atout,

  • Aptitudes particulières et qualités personnelles :

    • Frappe rapide et excellente (présentation, orthographe, grammaire) en français et allemand,

    • Capacité d’adaptation, autonomie et pro activité,

    • Sens de l’accueil, qualités relationnelles, discrétion et respect de la confidentialité.

    • Sens des priorités, capacité à gérer les urgences et les situations de stress, efficacité,

    • Sens des responsabilités et de l’organisation, rigueur,

    • Esprit d’équipe.


Horaires :

Avec 1h de pause : 8h00-17h00. Horaires variables en fonction des besoins du service.
 

Les candidatures (lettre de motivation, CV) sont à envoyer par email à recrutement@chl.lu. Merci d’indiquer, en objet de votre lettre de motivation, l’intitulé exact du poste et du service souhaités.

NB : Un casier judiciaire sera demandé au candidat retenu. En nous transmettant votre candidature, vous acceptez que le CHL garde vos données durant 2 ans maximum, sauf indication contraire de votre part.

 

Le CHL recrute un médecin urgentiste (m/f/x)

Le CHL recrute un médecin urgentiste (m/f/x)

Pour son service de Policlinique – Urgences adultes et pour son Unité de Post-Urgences médico-chirurgicale sous contrat à durée indéterminée à temps plein.
 

Votre mission

En collaboration avec les autres médecins de l’équipe, vous assurerez la prise en charge des patients en urgence, y compris le diagnostic et le premier traitement. A l’Unité Post-Urgences, un service composé de 32 lits, vous assurerez la prise en charge de 16 lits de patients à profil médical. Ces patients admis devront bénéficier de surveillances aiguës et de soins médicaux spécialisés.
 

Votre profil :

  • Vous êtes titulaire d’une formation médicale de médecine générale ou médecine d’urgence et avez une autorisation d’exercer la médecine au Grand-duché de Luxembourg délivrée par le Ministère de la Santé.
  • Vous avez une expérience en médecine d’urgence.
  • Vous faites preuve de dynamisme et d’une capacité de s’intégrer. Vous savez travailler en équipe.
  • Vous maîtrisez au moins 2 ou 3 langues (français, allemand et anglais) et vous avez la volonté d’apprendre le luxembourgeois.
  • Vous avez un intérêt et un engagement pour la gestion de la qualité et l’enseignement aux étudiants et assistants.
     

Nous vous offrons un cadre professionnel performant :

  • Un travail multidisciplinaire et activité variée qui embrasse le spectre complet des urgences médicales et chirurgicales adultes.
  • Un contexte de modernisation et d’innovation favorisant l’initiative personnelle.
  • Un terrain de stage accueillant des médecins en voie de spécialisation et des étudiants de différentes facultés européennes.
  • La perspective d’un nouveau cadre de travail digitalisé et ultramoderne avec l’exploitation d’un tout nouvel hôpital à partir de 2028.
  • Un accueil et un accompagnement individualisé durant votre prise de fonction.
  • Un budget de Formation Médicale Continue.


… et socialement responsable :

  • Un cadre de vie et de travail agréables, une rémunération attractive avec un statut de médecin salarié.
  • La possibilité de bénéficier d’avantages fiscaux impatriés.
  • Les commodités d’une crèche à l'hôpital et d’une salle de sport.
  • Des activités de vie sociale favorisant le bien-être du personnel et l’équilibre vie privée-vie professionnelle.
  • Une évolution au sein d’une organisation orientée sur des valeurs humaines fortes.
     

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter le Directeur médical par mail à direction.medicale@chl.lu.

Merci d’envoyer votre Curriculum Vitae accompagné d’une lettre de motivation à la Direction médicale du Centre Hospitalier de Luxembourg par mail à direction.medicale@chl.lu.

NB : Lors du recrutement, le candidat sera appelé à fournir les documents attestant qu'il remplit les conditions de moralité et d’honorabilité légalement exigées.

Le CHL recrute un médecin spécialiste  en neuropédiatrie (m/f/x)

Le CHL recrute un médecin spécialiste en neuropédiatrie (m/f/x)

Pour son service de Neuropédiatrie sous contrat à durée déterminée d'un an à temps plein (possibilité de conversion en Contrat à Durée Indéterminée).
 

Votre mission

  • Assurer le diagnostic et le suivi de patients atteints de pathologies neurologiques   

  • Œuvrer dans un programme de recherche en neurologie pédiatrique
     

Votre profil

  • Vous êtes titulaire d’un diplôme de médecin spécialiste en neuropédiatrie ou neurologie adulte avec expertise en neurologie pédiatrique et autorisation d’exercer au Luxembourg délivrée par le ministère de la Santé.

  • Formation validée sur le plan européen, en neuropédiatrie, dans un cursus de type EPNS, avec spécialisation (≥ 3 ans), avec stage dans un centre de référence international avec expertise en neurophysiologie, maladies métaboliques et neurogénétiques.

  • Aptitudes particulières et qualités personnelles requises : Sens relationnel développé avec les enfants et leur entourage, capacité à s’adapter aux divers interlocuteurs, sens des responsabilités, esprit d’initiative et autonomie, capacité à se remettre en question, ouverture d’esprit, compliance, esprit d’équipe, disponibilité, flexibilité.

  • Projet clinique et de recherche s’intégrant dans le dynamisme et le savoir-faire de l’équipe actuelle 

  • Expertise en recherche clinique et ou fondamentale, PhD ou en projet d’obtention

  • Vous maîtrisezle français et idéalement l’anglais. La connaissance des langues luxembourgeoise, allemande et/ou portugaise est un atout


.....Nous offrons un Cadre professionnel performant: 

  • La clinique pédiatrique est un hôpital de 73 lits incluant les services de pédiatrie générale avec polyclinique/urgences et hôpital de jour, néonatologie, soins intensifs pédiatriques, chirurgie pédiatrique, neuropédiatrie, radiologie pédiatrique et pédopsychiatrie  
  • Service hospitalier disposants d’équipements tels que EEG vidéo, holter EEG, potentiels évoqués, Ct-scan, IRM et autres.
  • Thérapies nouvelles telles que enzymes de substitution, oligonucléotide antisens, modificateur d’épissage, thérapie génique.
  • Collaboration avec Services Universitaires de Neurologie Pédiatrique et Maladies Métaboliques 

  • Thèmes (non exclusifs) Épilepsie, syndromes neurogénétiques et poly-malformatifs, erreurs innées du métabolisme, affections neuromusculaires, malformations cérébrales, maladies mitochondriales, maladies de surcharge lysosomiales, affections neurologiques néonatales et fœtales…

  • Outils disponibles et à développer : (non exclusifs)

    • Screening néonatal élargi des maladies métaboliques.

    • Analyses biochimiques, séquençage à haut débit ciblé, exome.

    • Équipe médicale et paramédicale orientée sur le diagnostic et la prise en charge des maladies rares : médecins, infirmières.. 

  • Objectifs:
    • Parents et enfants au centre du diagnostic, du suivi et de la recherche » 
    • Optimiser le diagnostic des maladies rares « traitables », et « non directement traitables », leur mode de prise en charge et leurs aspects thérapeutiques. 
    • Recherche sur des thèmes affectant les « maladies neurologiques rares » et autres

 

...et socialement responsable:

  • Un accueil et un accompagnement individualisé durant votre prise de fonction. Un budget de Formation Médicale Continue.
  • Un cadre de vie et de travail agréables, une rémunération attractive avec un statut de médecin salarié. La possibilité de bénéficier d’avantages fiscaux impatriés et une pension complémentaire.
  • Une participation aux frais d’installation dans le pays.

  • Les commodités d’une crèche à l’hôpital et d’une salle de sport.

  • Des activités de vie sociale favorisant le bien-être du personnel et l’équilibre vie privée-vie professionnelle. Une évolution au sein d’une organisation orientéesur des valeurs humaines fortes.


Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter Dr. SCALAIS Emmanuelle scalais.emmanuel@chl.lu ou Dr DE BEAUFORT Carine debeaufort.carine@chl.lu

Merci d’envoyer votre Curriculum Vitae accompagné d’une lettre de motivation à la Direction médicale du Centre Hospitalier de Luxembourg par mail à direction.medicale@chl.lu ou par courrier, 4 rue Barblé, L-1210 Luxembourg. 

NB : Lors du recrutement, le candidat sera appelé à fournir les documents attestant qu'il remplit les conditions de moralité et d’honorabilité légalement exigées.

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